Une poignée de muscles sont responsables de la majorité des douleurs MSQ.
Voir lesquels →
Plus de 50 % des douleurs MSQ proviennent des enthèses provenant des os plats (omoplate, occiput, sacrum, iléon).
Plus large est l’enthèse, plus le muscle sera symptomatique.
Plus le muscle est profond, plus il sera impliqué dans les processus douloureux.
Une lésion primaire non traitée va régulièrement développer des lésions secondaires sur les muscles partageant son rôle fonctionnel.
La meilleure façon de prévenir une douleur chronique est de traiter agressivement la douleur aiguë.
Sur un tableau de douleur chronique, il se développera souvent une atteinte neuropathique périphérique et centrale tardive.
J’affirmerai qu’avec mon expérience, ma technique par référencement anatomique est difficile à rivaliser.
Mes résultats →
Une arthrose, potentielle source primaire d’une douleur, se régionalisera souvent par atteinte inflammatoire, myofasciale, enthésopathique et neuropathique.
Une thérapie par infiltration articulaire sera souvent inefficace ou moins longtemps efficace si les enthésopathies secondaires sont ignorées.
Une épidurale sera souvent inefficace si les douleurs enthésopathiques et myofasciales secondaires paralombaires sont ignorées.
Un processus douloureux chronique d’origine mixte requiert souvent une approche multimodale par infiltration et approche manuelle (physiothérapeutie, ostéopathie, chiropractie…). Le tout, compléter reconditionnement physique et parfois par pharmacologie.
Les infiltrations enthésopatiques périfacettaires sont plus efficaces, à mon avis, que les blocs facettaires. C’est pourquoi la mode est aux « medial branch block » plutôt qu’aux blocs facettaires dans certains centres universitaires. Ils sont ultimement périfacettaires enthésopathiques.
Une lésion primaire MSQ qui se chronicise, le fera par des processus inflammatoires et neuropathiques (périphériques et centraux). Elle le fera d’autant plus, pour certaines conditions, si la structure biopsychosociale de l’individu le favorise par des traumas psychologiques.
Une proportion importante des syndromes douloureux à allure radiculopathique sont en réalité des syndromes myofasciaux scapulaires et coxales facilement adressables précocement pour éviter une chronicité plus difficile à adresser. Il faut donc les reconnaître plutôt que de demander des IRM/EMG qui tarderont le traitement.
On infiltre correctement que si l’on connait parfaitement l’anatomie et « l’anatomie de la douleur ». Un bon technicien ne fait pas d’infiltration à l’aveugle et n’a que très rarement besoin de guidage échographique ou radiologique. On sait où l’on infiltre que si l’on touche un repère osseux avec l’aiguille.
J’ai eu deux formations en infiltration échoguidée à Toronto et Harvard. Ces formateurs n’ont pas réussi à me démontrer la supériorité de leur technique.
Je reconnais qu’il faut de très nombreuses années (10-15) d’expérience pour se qualifier d’expert en infiltration, et ce tant par référencement anatomique que par échoguidage.
Le Dr. St-Georges →